Le mariage gay serait-il en passe d’être légalisé?
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Le mariage gay serait-il en passe d’être légalisé?

Le mariage contre nature serait-il en passe d’être reconnu de facto suivant les amendements qui pourraient être apportés à la Protection from Domestic Violence Act 1997. Les décideurs politiques tenteraient-ils de devancer la Cour Suprême mise en présence d’une demande en vue de déclarer anticonstitutionnel l’article 250 de la Constitution? Ou subissent-ils tout simplement les pressions du lobby LGBT ? Ou encore ne serait-ce qu’une coïncidence?

Ce sont les nombreuses questions que l’on se pose dans les milieux avertis depuis la décision de la Cour Suprême d’accepter d’entendre la pétition du lobby LGBT pour rendre l’article 250 qui criminalise la sodomie caduc.

En effet, le ministère de l’Egalité des Genres seraient, selon des sources confirmées, en présence de demandes de certains ONG militant pour les droits des déséquilibrés, des désorientés, voire des dépravés sexuels, en faveur de propositions d’amendement à la Protection from Domestic Violence Act, amendements qui pourraient être présentés au Parlement dans les semaines à venir. Une enquête dans les milieux concernés a confirmé que la proposition d’amendement qui pourrait susciter de nombreuses controverses, concerne la définition du mot spouse.

En effet, la loi actuelle définit spouse comme (i) someone who is or has been civilly or religiously married to a person of the opposite sex (ii) someone who is living or has lived with a person of the opposite sex as husband and wife; or (iii) whether living together or not with a person of the opposite sex, has a common child with that person.

Or, la proposition des ONG concernées porterait sur l’élimination de l’expression to a person of opposite sex. Elles ont d’avis que cette définition devrait inclure un couple gays, soit une reconnaissance tacite du same sex marriage.

Dans la même veine, il se chuchote que des amendements seraient apportés au Criminal Code Act afin de criminaliser uniquement la sodomie sans consentement, une manière de céder aux désirs du lobby LGBT en assouplissant l’article 250 de la Constitution.