Les dépravés et autres adeptes des pratiques sexuelles hors norme peuvent se réjouir. Ils ont désormais le soutient de pas moins que le Directeur des poursuites publiques dans leur demande pour la décriminalisation de la sodomie.
Ce n’est pas une coïncidence que le DPP ait consacré un article consacré un article dans la 69e édition de sa Newsletter à la possible anti constitutionalité de l’article 250 du Code criminel. Celui-ci sanctionne la sodomie entre deux adultes consentants. Cette prise de position du DPP coïncide étrangement avec la Journée mondiale de la Lutte contre l’Homophobie. Selon le commis de l’état, cet article du Code criminel pourrait ne passer le test de la constitutionnalité.
Ce dernier base sa réflexion sur plusieurs points. D’abord, la disposition juridique de cet article est fondée sur l’ancien code pénal français. C’était au temps où la relation sexuelle entre deux hommes était considérée comme un péché ou une malédiction.
Il est regrettable que jusqu’ici aucun groupe de croyants, que ce soit parmi les catholiques ou parmi les Musulmans, n’ait réagi à cette prise de position de celui, payé des fonds publics, s’arroge le droit de défendre la liberté sexuelle, comme si c’était la priorité du moment. Des observateurs s’interrogent sur l’intérêt que porte le DPP sur la question.
Toutefois, le Flambeau, qui vise à stimuler la pensée critique chez les Musulmans, en priorité, se propose de mener un combat inlassable contre la décriminalisation de la sodomie. Il n’est pas question que les dépravés sexuels dictent leurs penchants abominables aux autres citoyens de ce pays.